Rien n'a de sens, c'est normal

Set design - Photographie

LuxeFrame - Photography Studio
  • INTRODUCTION

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Dans ce projet de set design, j’ai choisi de m’attaquer à ce qui ne se voit plus : les gestes mécaniques, les objets silencieux, les routines absurdes qu’on ne remet jamais en question.
Mon idée : exagérer le banal pour rendre visible l’absurde, détourner des objets ordinaires pour en faire des mises en scène critiques, poétiques, parfois dérangeantes.
Chaque image devient une micro-fiction, une interrogation sur ce qui semble normal mais ne l’est pas tant que ça.

Client

projet fictif

Responsibility

set design - photographie

Project Category

set design

Year

Apr 17, 2025

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Rien ne fait sens, c’est normal

À travers ce projet de set design, j’ai détourné des objets du quotidien pour révéler l’absurde tapi dans nos gestes les plus banals. Chaque composition exagère une situation familière, jusqu’à en faire vaciller la logique. C’est une manière de questionner l’automatisme, de troubler le confort visuel, et de transformer l’absurde en outil de lucidité.

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Rien ne fait sens, c’est normal

À travers ce projet de set design, j’ai détourné des objets du quotidien pour révéler l’absurde tapi dans nos gestes les plus banals. Chaque composition exagère une situation familière, jusqu’à en faire vaciller la logique. C’est une manière de questionner l’automatisme, de troubler le confort visuel, et de transformer l’absurde en outil de lucidité.

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  • Problems!

  • Problems!

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Le plus grand défi de ce projet, c’était d’éviter l’esthétisation gratuite de l’absurde. Je voulais que chaque scène ait un sens derrière le non-sens, que chaque composition visuelle déclenche une réflexion ou une sensation de décalage.

  • Problems!

  • Problems!

  • Problems!

Pour développer ce projet, je me suis nourrie de trois références majeures :

The Truman Show, pour son univers factice aux décors trop propres, trop bien rangés, où chaque chose sonne “vrai” jusqu’à ce qu’on réalise qu’elle est fausse. J’aimais cette sensation d’étrangeté lisse, cette illusion parfaitement maîtrisée qui finit par craquer.
René Magritte, pour sa capacité à tordre le réel sans le déformer visuellement : une pipe qui n’en est pas une, un œuf dans une assiette trop sérieuse, un reflet qui ne reflète rien. Il m’a appris à dire l’absurde avec calme.
Toiletpaper Magazine, pour sa brutalité pop, son goût du dérangement immédiat, son humour noir visuel et ses compositions cinglantes. J’y ai trouvé la liberté d’exagérer, d’aller loin, et de rendre l’absurde graphique.

À partir de là, j’ai sélectionné des objets du quotidien, que j’ai détournés en leur assignant une fonction poétique ou illogique. J’ai conçu chaque scène comme une mise en tension entre fonction et perception. L’éclairage, les couleurs, les cadrages sont venus renforcer ce trouble latent.

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  • Solutions

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Le résultat : une série d’images où le quotidien déraille volontairement, où chaque détail devient suspect, poétique ou dérangeant.

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